Nathan Robbs

J'errais. Je ne savais en aucun cas pourquoi j'étais revenu ici, dans ce maudit village qui devenais de plus en plus peuplé de vampires et de loups-garous. J'étais revenue sans m'en rendre compte. Je ne savais pas pourquoi mais mes pattes avaient eut envies de faire demi-tour et je m'étais retrouvé ici. Je souffrais toujours autant de ma séparation avec Bella et j'étais toujours sous ma forme de loup. Depuis ses deux semaines que je l'avais quittée je ne m'étais retransformer en humain qu'une seule fois pour aller chercher un short chez moi. Je m'étais nourrit en loup même si je n'aimais pas vraiment me nourrir de cet manière mais je n'avais pas le choix. J'errais donc maintenant, au bord de la nationale, reniflant le sol lorsque soudain j'entendis un bruit incroyable parvenir à mes longues et grosses oreilles de loup. Ce bruit, je l'avais redouté, essayer de l'oublier car il faisait ressurgir en moi des sentiments que j'aurais voulut effacées à jamais. C'était le bruit de la vieille Chevrolet que Billy avait vendu a ... Je ne put ne serais-ce que penser son prénom. Malgré moi, je m'avançais vers la nationale, mais ne pouvant me rapprocher trop de peur de me faire voir, je recula et me renfonça dans la forêt. J'hésitais beaucoup et ne savais pas qu'est ce que je devais faire. Sans que je m'en rende compte, je m'étais déjà transformer en humain et avait enfilé mon short. Je ne savais pas ce que je voulais faire mais à peine redevenue humain que je m'étalais par terre. De un parce que je n'avais plus vraiment l'habitude de marché sur deux jambes et de deux parce que je fus assaillit par tout les sentiments que j'avais essayer de refoulés en moi. Je me retrouvais donc à me rouler par terre, mes bras enserrant mon torse qui me faisait énormément souffrir. L'odeur de la vieille Chevrolet avait réveiller plus de douleur en moi que je ne pensais en avoir. Je pensais l'avoir oubliée mais non, il m'en était donc impossible. Quelques larmes roulèrent le long de mes joues. Lorsque la cisaille qui martyrisait mon cœur fut supportable, autant que cela pouvait l'être, je me remit debout avec beaucoup de difficultés. Je me mit à avancer, dans je ne savais qu'elle direction pour faire je ne savais quoi. Au fond de moi j'espérais être parti dans la direction opposée à la nationale mais lorsque je senti à nouveau l'odeur de la Chevrolet qui avait grillée, je me dit que tout était perdu. J'arrivais donc, me trainant tant bien que mal à la lisière de la forêt. Je la vit alors. La douleur fut tel qu'elle me paralysa sur place. Je me retint à un arbre mais ne pouvais désormais plus bouger. Je n'avais pas remarqué mais j'étais couvert de boue et avait des griffures un peu partout sur le torse. Des griffures que j'avais dû me faire lorsque je m'étais roulé dans l'herbe et la boue, cisailler par la douleur.